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  • Villa Vassilieff

    Villa Marie Vassilieff
    Chemin de Montparnasse
    21 avenue du Maine

    75015 Paris
    +33.(0)1.43.25.88.32
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  • Evénements

    Mardi 19 sep­tem­bre

    11h
    La vie des plan­tes

    Soin quo­ti­dien des plan­tes de la Villa Vassilieff. Café et thé à dis­po­si­tion.

    11h – 17h
    MUSEUM OF/AS RESISTANCE

    Atelier et pré­sen­ta­tion publi­que

    Avec les par­ti­ci­pant.e.s du MA Curatorial Practice pro­gramme, Faculty of Fine Art, Music and Design, Université de Bergen, dont Sara Greavu, Torill Østby Haaland, Rick Herron, Rose Jepkorir Kiptum, Tatiana Lozano, Mack McFarland, Eszter Szakács, Tove Aadland Sørvåg, Hanns Lennart Wiesner et Anne Szefer Karlsen (Associate Professor). Invitée : Nataša Petrešin-Bachelez

    L’ate­lier et la pré­sen­ta­tion publi­que reçoi­vent le sou­tien de la Curatorial Practice, Faculty of Fine Art, Music and Design, Université de Bergen.

    13h – 14h
    Déjeuner par­tagé

    18h – 21h
    LANCEMENT DE LA PERMANENCE

    COCKTAILS, PLAYLISTS & PLANTES VERTES


    Mercredi 20 sep­tem­bre

    11h – 13h
    Ghost Marmalade

    Organisé par Council
    (sur invi­ta­tion uni­que­ment)

    13h – 14h
    Déjeuner par­tagé

    13h – 16h
    Rendez-vous de tra­vail

    14h30 – 16h30
    Atelier de pra­ti­que artis­ti­que pour les enfants
    (ins­crip­tions closes)


    Jeudi 21 sep­tem­bre

    13h – 14h
    Déjeuner par­tagé


    Vendredi 22 sep­tem­bre

    10h30 – 18h30
    Rendez-vous de tra­vail

    13h – 14h
    Déjeuner par­tagé

    17h – 19h
    Feeling Uneasy - On Aesthetics of Transgression

    Projection et dis­cus­sion pro­po­sées par Marie Sophie Beckmann (Goethe Institut Fellow 2017). En anglais.

    « Puisqu’il n’y a pas de vie après la mort, le seul enfer est l’enfer de la prière, de l’obéis­sance aux lois, de la sou­mis­sion face à l’auto­rité, le seul para­dis est le para­dis du péché, de la rébel­lion, celui où l’on se marre, où l’on baise et on l’on enfreint autant de règles que pos­si­ble. Cet acte de cou­rage s’appelle la trans­gres­sion. » (Nick Zedd, Manifeste du cinéma de la trans­gres­sion, 1985)

    Introduction aux films, écrits, à la musi­que et à l’art qui ont émergé de la culture under­ground new-yor­kaise autour des années 80, et invi­ta­tion à dis­cu­ter de la trans­gres­sion et de l’excès comme stra­té­gies de résis­tance.


    Samedi 23 sep­tem­bre

    11h – 12h30
    COMMUNICATIONS ET COLLABORATIONS DANS LA NATURE

    Conférence et dis­cus­sion avec Jean-Philippe Varin (dres­seur ani­ma­lier)

    Tout ce qui vit ou pousse com­mu­ni­que en per­ma­nence, et nous sommes une espèce ani­male parmi toutes celles qui vivent sur la terre. Afin de pou­voir se nour­rir, vivre en sécu­rité, se repro­duire ou encore étendre son ter­ri­toire, toute espèce doit pou­voir ana­ly­ser son envi­ron­ne­ment pour faire des choix d’évolution et d’adap­ta­tion, mais aussi com­mu­ni­quer sur ce choix pour arri­ver à ses fins. Cela est par­ti­cu­liè­re­ment fla­grant chez les espè­ces gré­gai­res (comme la notre), qui, dès qu’il y a un pro­blème ou un objec­tif, le trai­tent avec une rapi­dité et une effi­ca­cité fabu­leuse. La trans­mis­sion des infor­ma­tions, les répar­ti­tions des char­ges, et les ordres d’exé­cu­tions lais­sent per­plexes et admi­ra­tifs, aussi bien les pro­gram­ma­teurs de logi­ciels que les régis­seurs de grands com­plexes. Les espè­ces ani­ma­les vivant en grou­pes (four­mis, abeilles, babouins, bancs de pois­sons ou d’étourneaux…) fonc­tion­nent de façon par­fai­te­ment coor­don­née même devant un pro­blème impro­ba­ble. Elles com­mu­ni­quent et s’auto­pro­tè­gent cons­tam­ment. Lors de cette confé­rence, nous ver­rons com­ment ces modes de com­mu­ni­ca­tion et d’entraide peu­vent servir de modèle pour les humains.

    Nombre de places limité. Sur ins­crip­tion uni­que­ment : publics (at) beton­sa­lon.net ou +33.(0)1.43.25.88.32

    13h – 14h
    Déjeuner par­tagé

    15h – 16h45
    Discussion avec Flora Katz
    (cri­ti­que d’art, cura­trice et cher­cheuse)

    L’Editathon Art+Feminisms et les ate­liers Le pré­sent de nos savoirs sont un projet artis­ti­que et poli­ti­que où il s’agit d’agir col­lec­ti­ve­ment sur la pla­te­forme wiki­pé­dia pour réduire des iné­ga­li­tés iden­ti­tai­res. Quel a été le rôle des artis­tes dans ce pro­ces­sus ? Quelles métho­des ont été mises en place, et à quels pro­blè­mes un cura­teur fait face lorsqu’il traite de poli­ti­ques iden­ti­tai­res dans une ins­ti­tu­tion, et avec des artis­tes ?

    Après une pré­sen­ta­tion du projet, il s’agira de par­ta­ger ces ques­tion­ne­ments avec les per­son­nes pré­sen­tes. 

    17h – 19h
    Engagement des intel­lec­tuels : un pro­blème du XXe siècle - et aujourd’hui ?

    Discussion avec Patrice Maniglier (phi­lo­so­phe, Maître de confé­ren­ces à l’Université Paris Nanterre. Il a notam­ment dirigé le numéro des Temps Modernes "Nuit debout et notre monde" (n°681, 2016).)

    Le XXe siècle a été pré­senté comme le "siècle des intel­lec­tuels". Depuis fleu­ris­sent d’innom­bra­bles ouvra­ges où on se demande où sont donc les intel­los d’antan. Mais c’est peut-être que ces figu­res que sont l’intel­lec­tuel, l’enga­ge­ment, ne sont pas des enti­tés éternelles mais des maniè­res d’avoir prise sur un temps par­ti­cu­lier, autre­ment dit des mots datés. Mais en ce cas, com­ment penser l’arti­cu­la­tion entre le combat poli­ti­que et le tra­vail scien­ti­fi­que, phi­lo­so­phi­que, artis­ti­que, lit­té­raire ?


    Mardi 26 sep­tem­bre

    13h – 14h
    Déjeuner par­tagé

    16h – 18h
    Conversation avec Léopold Lambert (The Funambulist), Sinthujan Varatharajah (doc­to­rant en géo­gra­phie poli­ti­que) & Eve Chabanon (artiste). En anglais.


    Mercredi 27 sep­tem­bre

    11h – 15h
    Rendez-vous de tra­vail de l’équipe de la Villa.
    Le public est invité à prêter l’oreille à ce qui reste d’ordi­naire dis­si­mulé dans les bureaux.

    +++

    13h – 14h
    Déjeuner par­tagé

    +++

    19h30 – 22h
    La friche urbaine dis­pu­tée

    Projection du docu­men­taire La friche de Magali Roucaut suivie d’une dis­cus­sion avec Magali Roucaut (réa­li­sa­trice), Catherine Visser (archi­tecte), Sébastien Penfornis (archi­tecte)

    Alors que Paris se “réin­vente” et cher­che à dépas­ser ses fron­tiè­res, d’anciens sites indus­triels à sa péri­phé­rie sont redé­cou­verts et s’ouvrent à des plans d’amé­na­ge­ment immo­bi­lier ou de nou­veaux espa­ces publics. Ces soi-disant ter­rains vagues étaient, il n’y a pas si long­temps, des lieux de tra­vail, vidés de leurs capa­ci­tés pro­duc­ti­ves par les pro­ces­sus glo­baux de chan­ge­ment économique. Pour cer­tains, cela crée un espace pré­cieux d’expé­ri­men­ta­tion en urba­nisme et de créa­tion de nou­veaux pay­sa­ges publics, mais pour ceux qui étaient employés sur le site, cela repré­sente une mar­gi­na­li­sa­tion vio­lente de la ville. 
    En réponse au film de Magali Roucaut La friche, la dis­cus­sion du panel por­tera sur la nature dis­pu­tée des fri­ches pari­sien­nes, inter­ro­geant tant les nou­veaux types de valeurs et de formes de vie publi­que qu’elles peu­vent appor­ter à Paris que la perte et la dis­conti­nuité qui en résulte pour créer ces nou­vel­les oppor­tu­ni­tés. La ques­tion sera aussi posée de savoir si et com­ment les com­mu­nau­tés qui occu­pent ces sites de manière infor­melle à l’heure actuelle peu­vent trou­ver leur place dans le futur qui est cons­truit sur ces sites. 
    Plus d’infor­ma­tion ici.

    Cet événement est à l’ini­tia­tive de Catherine Visser dans le cadre de son séjour de recher­che à Paris pour le projet Global Street mené par Saskia Sassen au sein de la chaire Villes Globales au Collège d’études mon­dia­les, FMSH. Avec le sou­tien du Collège d’études mon­dia­les, FMSH.


    Jeudi 28 sep­tem­bre

    13h – 18h
    Make A Living

    Avec Alessandro Gallicchio (Docteur en his­toire de l’art contem­po­rain) et Magali Le Mens (Maitre de confé­rence en art contem­po­rain à l’uni­ver­sité de Genève)

    Make A Living pro­pose une expé­rience col­lec­tive pour tenter de décou­vrir, explo­rer et ana­ly­ser dif­fé­rents modè­les de résis­tance. Prenant l’exem­ple his­to­ri­que de Montparnasse et de l’Ecole de Paris, nous déve­lop­pe­rons une réflexion dia­chro­ni­que sur le pou­voir évocateur de la micro-his­toire. Nous dis­cu­te­rons d’exem­ples de ban­quets, de fêtes et de ventes en tant que stra­té­gies de survie à la fois inti­mes et joyeu­ses.

    Nombre de places limité. Sur ins­crip­tion uni­que­ment à l’accueil de la Villa, au 01 43 25 88 32 ou par email : publics (at) vil­la­vas­si­lieff (dot) net

    13h – 14h
    Déjeuner par­tagé
    Make A Living / La Cantine de Marie Vassilieff

    Réactivation du Banquet de Marie Vassilieff (sur une pro­po­si­tion d’Alessandro Gallicchio)
    Nombre de places limité. Sur ins­crip­tion uni­que­ment à l’accueil de la Villa, au 01 43 25 88 32 ou par email : publics (at) vil­la­vas­si­lieff (dot) net

    14 – 15h
    Make A Living / Discussion : Géographie de la crise

    En anglais.

    15h – 18h
    Make A Living / Promenade à tra­vers Montparnasse


    Vendredi 29 sep­tem­bre

    13h – 14h
    Déjeuner par­tagé


    Samedi 30 sep­tem­bre

    11h - 13h
    Rendez-vous de tra­vail
    Le public est invité à prêter l’oreille à ce qui reste d’ordi­naire dis­si­mulé dans les bureaux.

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    13h – 14h
    Déjeuner par­tagé

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    17h – 18h
    RANDO TRAM

    Plus d’infor­ma­tions et ins­crip­tions ici.

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    17 - 19h
    No hos­pi­ta­lity, but Bar

    Une pro­po­si­tion d’Atsushi Sugita (cri­ti­que d’art, direc­teur de l’espace alter­na­tif ’art & river bank’ à Tokyo, pro­fes­seur à l’uni­ver­sité d’art et de design Joshibi)

    "Ce bar a déjà ouvert quel­ques fois au Japon. Il a pour but la créa­tion d’un lieu où l’on puisse se parler de manière plus déten­due, comme dans des cou­lis­ses, à une sta­tion de bus, dans la rue, dans un bar jus­te­ment, et ainsi de suite. “Finalement, il ne s’agit que de créer des situa­tions d’être ensem­ble”, voilà qui est régu­liè­re­ment pointé du doigt par cer­tai­nes cri­ti­ques de l’esthé­ti­que rela­tion­nelle. Est-ce juste ? Parfois, nous nous asseyons au res­tau­rant dans un pays étranger, entou­rés de per­son­nes par­lant une langue qui nous est inconnue. Ils nous reconnais­sent, et nous aussi. N’est-ce pas signi­fi­ca­tif ? Au contraire, on pour­rait se deman­der : “Les per­son­nes qui se retrou­vent au même endroit doi­vent-elles vrai­ment faire quel­que chose” ? Pour Maurice Blanchot, lorsqu’une com­mu­nauté ambi­tionne de deve­nir fonc­tion­nelle, elle com­mence à pour­rir. Alphonso Lingis s’est inter­rogé sur la pos­si­bi­lité d’une com­mu­nauté qui n’aurait rien eu en commun. Il nous faut repen­ser l’idée d’être ensem­ble depuis des points de vue dif­fé­rents. C’est à cela que ce bar ser­vira. Il n’y a pas d’hos­pi­ta­lité, mais un bar. Où l’on ne sert que des cock­tails ori­gi­naux. Ce sera un cata­ly­seur de conver­sa­tions et de silen­ces. Oubliez les com­mu­nau­tés aux­quel­les vous appar­te­nez, et ima­gi­nez main­te­nant que vous êtes un.e étranger.e…"
    Atsushi Sugita

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